La question de la production et de la diffusion des connaissances est consubstantielle à l’existence de l’être humain. Dès qu’il y a une maîtrise technique, il y a forcément un savoir et une transmission : qu’il s’agisse d’allumer du feu, de tailler un outil, de reconnaître des végétaux comestibles ou toxiques. De ce fait, il est illusoire de recherche une origine de la production et de la transmission de la connaissance.
Dès l’époque néolithique, il existe des gestes médicaux complexes comme la trépanation ou les amputations qui supposent une acquisition, voir une transmission de savoirs médicaux.
Pour saisir l’enjeu de la connaissance, il faut d’abord s’interroger sur la signification du terme en lui-même. La connaissance désigne à la fois l’action de comprendre les caractéristiques, les propriétés et les traits spécifiques d’une réalité, mais c’est également l’opération intuitive par laquelle nos sens nous permettent d’appréhender ce qui nous entoure. De cette double dimension découle l’idée de la connaissance comme accumulation des savoirs empiriques et réflexifs.
Si la notion de connaissance est associée dans nos sociétés contemporaines à la science, cela ne constitue pas pour autant une réalité universelle, dans nombre de sociétés et de civilisations, la connaissance est associée à d’autres réalités comme la religion ou le surnaturel. Le cas de la maîtrise des Hiéroglyphes, durant le Haut Empire égyptien en est un exemple.
La question de la connaissance pose le problème de sa transmission : comme elle se diffuse, et qui valide les connaissances à diffuser. Elle nous amène également à nous interroger sur sa place dans la société comme nous le montre la crise épidémique actuelle.
La question de la reconstruction des relations internationales et plus généralement de la réorganisation du monde après le conflit est évoqué très tôt dans la conflit par les États-Unis, l’URSS et le Royaume-Uni. Pour autant rien n’est encore totalement réglé lors de la défaite des puissances de l’Axe en 1945. Les années de l’immédiat après-guerre sont celles d’une réorganisation politique, juridique et géopolitique du monde qui sera déterminante jusqu’à la fin du XXè siècle.
Il faudrait 5 Terre pour permettre aux humains d’avoir le niveau de vie et de consommation américains d’ aujourd’hui. De plus, les E-U totalisent 15% des émissions de CO2 dans le monde. Néanmoins, ils ont créé les premiers parcs nationaux au monde (Yellowstone) et ont été parfois les pionniers en terme de justice climatique et environnementale.
La France dispose d’un immense domaine maritime, le deuxième au monde par son étendue. La France est une grande puissance économique, militaire et politique. Mais paradoxalement, on peine à classer la France parmi les grandes puissances maritimes car bien que dotée de forts atouts marins, la France semble avoir du mal à les exploiter.
A la fin de l’année 1846, la France est frappée par une crise économique brutale qui va fragiliser la monarchie de juillet et provoquer le développement d’une crise politique. Le roi et son premier ministre Guizot disposent d’une légitimité toute relative car le système électoral est un système censitaire qui exclut de la vie politique une très grande majorité de la population. De plus en plus de personnes réclament le suffrage universel (masculin) alors que Louis-Philippe se tourne vers une pratique de plus en plus autoritaire du pouvoir.
En 1848, la question de la légitimité du pouvoir reste un sujet majeur de la vie politique française. Dans le but d’y répondre, la seconde République va instaurer le suffrage universel masculin. Pour autant, cela ne lui permettra pas de durer.
Dans le cadre des relations internationales, la notion de puissance renvoie à la capacité d’un état à agir mais également à une mesure du rapport de force entre états. Cette notion est au cœur des relations internationales.
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